Amour dure trois ans (L'). Dir. Frédéric Beigbeder (2012)

Gaëlle GINESTET

Quotation(s)/Reference(s)

Reference 1

Time code: 0.30

Language of the quotation(s)/reference(s): French, English

MARC MARRONNIER: Là? "L’amour ne s’altère pas en heures ou en semaines, mais survit jusqu’à la pointe de la fin des temps. Et si ceci est faux et qu’on me le prouve, je n’ai jamais écrit, et personne n’a jamais aimé."

PIERRE: "I never writ, nor no man ever loved."

MARC MARRONNIER: C’est qui le con qui a écrit ça?

PIERRE: William Shakespeare.

       *  *  *

Original Shakespeare Text

Love alters not with his brief hours and weeks,
But bears it out even to the edge of doom.
If this be error and upon me proved,
I never writ, nor no man ever loved.

(Sonnet 116, 11-14, The Oxford Shakespeare)

 

Reference 2

Time code: 1.15

Language of the quotation(s)/reference(s): French, English

MARC MARRONNIER: Très drôle. Mais "L’amour ne s’altère pas en heures ou en semaines, non, mais survit jusqu’à la pointe de la fin des temps. Et si ceci est faux et qu’on me le prouve, je n’ai jamais écrit, et personne n’a jamais aimé. Nor I never writ, nor I’ve ever loved."

       *  *  *

Original Shakespeare Text

Love alters not with his brief hours and weeks,
But bears it out even to the edge of doom.
If this be error and upon me proved,
I never writ, nor no man ever loved.

(Sonnet 116, 11-14, The Oxford Shakespeare)

 

Reference 3

Time code: 1.17

Language of the quotation(s)/reference(s): French, English

MARC MARRONNIER: Mais non, mais non, je ne suis pas du tout blessé. Pas du tout. Pas du tout blessé. Pas mal. Pas mal. "No man ever writ, nor no man ever love." Je vais bien. Je vais bien.

       *  *  *

Original Shakespeare Text

Love alters not with his brief hours and weeks,
But bears it out even to the edge of doom.
If this be error and upon me proved,
I never writ, nor no man ever loved.

(Sonnet 116, 11-14, The Oxford Shakespeare)

 


Citation(s)/Référence(s)

Référence n°1

Localisation dans le film : 0.30

Langue de la citation/référence dans le film : français, anglais

MARC MARRONNIER: Là? "L’amour ne s’altère pas en heures ou en semaines, mais survit jusqu’à la pointe de la fin des temps. Et si ceci est faux et qu’on me le prouve, je n’ai jamais écrit, et personne n’a jamais aimé."

PIERRE: "I never writ, nor no man ever loved."

MARC MARRONNIER: C’est qui le con qui a écrit ça?

PIERRE: William Shakespeare.

      *  *  *

Traduction française du texte shakespearien d'origine

Heures brèves et mois en leur cours ne le bougent :
Jusqu'au bord du trépas il demeure inchangé.
Si l'on me peut prouver que je me suis trompé,
Je n'ai jamais écrit, nul n'a jamais aimé.

(Sonnet 116, 11-14, traduction de Jean Fuzier dans Les Sonnets de Shakespeare, publié par le Librairie Armand Colin)

 

Référence n°2

Localisation dans le film : 0.15

Langue de la citation/référence dans le film : français, anglais

MARC MARRONNIER: Très drôle. Mais "L’amour ne s’altère pas en heures ou en semaines, non, mais survit jusqu’à la pointe de la fin des temps. Et si ceci est faux et qu’on me le prouve, je n’ai jamais écrit, et personne n’a jamais aimé. Nor I never writ, nor I’ve ever loved."

      *  *  *

Traduction française du texte shakespearien d'origine

Heures brèves et mois en leur cours ne le bougent :
Jusqu'au bord du trépas il demeure inchangé.
Si l'on me peut prouver que je me suis trompé,
Je n'ai jamais écrit, nul n'a jamais aimé.

(Sonnet 116, 11-14, traduction de Jean Fuzier dans Les Sonnets de Shakespeare, publié par le Librairie Armand Colin)

 

Référence n°3

Localisation dans le film : 0.17

Langue de la citation/référence dans le film : français, anglais

MARC MARRONNIER: Mais non, mais non, je ne suis pas du tout blessé. Pas du tout. Pas du tout blessé. Pas mal. Pas mal. "No man ever writ, nor no man ever love." Je vais bien. Je vais bien.

      *  *  *

Traduction française du texte shakespearien d'origine

Heures brèves et mois en leur cours ne le bougent :
Jusqu'au bord du trépas il demeure inchangé.
Si l'on me peut prouver que je me suis trompé,
Je n'ai jamais écrit, nul n'a jamais aimé.

(Sonnet 116, 11-14, traduction de Jean Fuzier dans Les Sonnets de Shakespeare, publié par le Librairie Armand Colin)

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